Enfin LA solution pour la culture BIO de la vigne...
Un vin au petit goût de Bach, avec des notes de Vivaldi et un zeste de Gluck
Je reprends un article du Monde, amusant encore que?... pourquoi pas après tout.
Nous remettrons au goût du jour la technique qu'utilisait mon arrière grad père: il jouait du violon dans les vignes pendant les vendanges, le rendement de la cueille s'en ressentait, on le comprends. Pour le reste de la campagne, c'est un peu plus compliqué à organiser mais en tous cas, c'est bon pour le Moral!
Nota: Pour tenir compte du commentaire éclairé d'un correspondant anonyme, je supprime une partie de l'article du quotidien "LE MONDE" afin de n'en donner qu'un extrait conformément à la LOI
LE MONDE | 28.09.05 | 14h31 • Mis à jour le 28.09.05 | 14h31
ROME de notre correspondant
a musique de Mozart, de Bach ou de Tchaïkovski a-t-elle une influence sur la qualité du vin ? C'est une hypothèse que des chercheurs de l'université de Florence envisagent sérieusement, après avoir étudié de près l'expérience menée par un viticulteur toscan. Giancarlo Cignozzi, ancien avocat devenu propriétaire viticole, produit le fameux brunello de Montalcino, un vin rouge d'exception apprécié dans le monde entier. Depuis qu'il a sonorisé son vignoble avec des dizaines d'enceintes acoustiques, cet original trouve que sa vigne pousse avec davantage de vigueur. Elle est moins malade que celle de ses voisins, et son raisin mûrit plus vite.
Impressions confirmées par les premiers travaux du professeur Stefano Mancuso, spécialiste italien de neurobiologie végétale, qui a commencé à reproduire en laboratoire les essais en plein champ du viticulteur mélomane : "Les effets de la musique, ou plutôt des fréquences sonores, sur la croissance de la plante sont remarquables."
Jean-Jacques Bozonnet
Article paru dans l'édition du 29.09.05
Bonjour,
Oui, j'ai aussi un client en Suisse qui met de la musique dans les vignes et la cave. Les résultats sont intéressants.
Cordialement,
Yannick Van Doorne www.ecosonic.net
Rédigé par : Yannick Van Doorne | 13 novembre 2007 à 12:30
Voici 2 articles tout récent de ce matin justement du travail d'un de mes clients en Alsace.
http://alsace.france3.fr/info/35779590-fr.php
et cet article publié le 30.10.2007 sur le site des Dernières Nouvelles d'Alsace :
http://www.dna.fr/local/region/
Région - Dangolsheim / Alternative phytosanitaire
Symphonie viticole
Pendant la cueillette du gewurztraminer « vendanges tardives » sur les hauteurs de Dangolsheim, L'Hymne à la Joie met du coeur à l'ouvrage et du sucre dans les raisins. Tandis que retentissent les notes de Beethoven, Jean-Marie Zerr mesure avec satisfaction le taux de sucre des grappes cueillies dans sa parcelle équipée de haut-parleurs. « Depuis que je lui diffuse de la musique, le raisin a gagné en sucre et surtout en arôme », se réjouit le viticulteur. Bien sûr, le soleil du mois d'octobre y est pour beaucoup « mais les parcelles sans musique n'atteignent pas la qualité qu'on obtient ici ».
Depuis 2004, ses vignes sont conduites en biodynamie et Jean-Marie Zerr est toujours à la recherche de méthodes naturelles pour stimuler ses cultures. Sentant instinctivement que « les fréquences sonores font réagir les végétaux », il s'intéresse à la musicothérapie pour les plantes. Après des contacts avec une entreprise spécialisée en la matière, il décide de se lancer.
L! e temps de s'organiser, d'installer la sonorisation, de se concocter un programme musical, le gros des vendanges est déjà passé ; des parcelles tardives feront donc office de cobayes.
« Je mets la musique dès que les oiseaux se mettent à chanter. Il faut respecter les temps de repos de la nature ». De la musique classique, le rythme du rock ou de la techno ne convenant pas : « le rythme est trop agressif ».
La musique équilibre
le sucre et les arômes
En plus des grands classiques, « il y a des mélodies spécifiques pour la vigne, en fonction de ce qu'on veut faire », précise encore le viticulteur en faisant entendre des harmonies assez sommaires, « mais efficaces ». Chaque note a une certaine fréquence qui stimule telle ou telle protéine et les mélodies proposées par les musicothérapeutes pour les plantes visent à développer les systèmes racinaires, à renforcer les défenses naturelles ou à ouvrir les stomates des feuilles pour une meille! ure absorption des traitements (bio en l'occurrence), « ce qui économise du temps et des produits ».
« Tout ce que je fais vise à trouver dans mes raisins un équilibre entre le sucre et les arômes. Avec la musique, j'ai l'impression que je peux y arriver plus facilement. » Malheureusement, le consommateur n'aura pas l'occasion de vérifier l'efficacité de cette voie musicale. La récolte est partie hier à la coopérative et mélangée à d'autres vendanges tardives cultivées de manière plus conventionnelle. Jean-Marie Zerr espère cependant qu'à l'avenir, la coopérative réservera une cuvée spéciale à ses raisins mélomanes.
Simone Wehrung
© Dernières Nouvelles d'Alsace - 30.10.2007
Pour plus d'informations, Yannick Van Doorne de l'entreprise Ecosonic spécialisée dans ce domaine vous répond.
Rédigé par : Yannick Van Doorne | 30 octobre 2007 à 18:57
Attention de ne pas recopier en entier des articles sur votre blog. Cela contrevient au code la propriété intellectuelle (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=ECOX0200175L)
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Il serait préférable d'indiquer simplement un lien vers les articles intéressants.
Rédigé par : anonyme | 09 octobre 2005 à 00:06
je suis allée visiter une cave en suisse centrale la semaine dernière et ils avaient aussi de la musique, là où les tonneaux reposent. Ils pensent que ça a une influence bénéfique mais là, on est loin des théories sur les plantes...
Rédigé par : Bisaelle | 03 octobre 2005 à 09:50