RESPECT POUR NICOLAS JOLY…..VOICI UN RESUME
DU COMMENT TRAVAILLER…..MERCI MONSIEUR JOLY
Le goût du vin ne peut naturellement atteindre son originalité et devenir inimitable que par l’empreinte
de son terroir et de son microclimat. Partout sur la Terre le rapport des 4 composants : chaleur,
luminosité, hydrométrie et géologie se marient différemment. C’est là la subtilité des AOC que la
plante, vigne, olivier etc., saisit chaque fois à sa manière.
C’est de cette compréhension qu’est née la grandeur des appellations qui garantissent aux
consommateurs un gout lié à l’originalité d’un lieu particulier.
Pour qu’une vigne saisisse bien son terroir (minéralogie du sol et du sous-sol, orientation des pentes,
…) par ses racines, celui-ci doit être vivant et donc exempt de désherbants. Et pour bien capter le
climat et ses multiples variantes (vents, ensoleillement, humidité, …) la plante doit se développer de la
manière la plus naturelle possible ; En particulier, les feuilles doivent être exemptes de produits
chimiques de synthèse qui troublent la photosynthèse et l’ensemble du développement de la plante
vivante.
Quand une agriculture saine (biologie ou biodynamie) a bien permis, au lieu de s’exprimer, les
technologies de cave et les goûts arbitraires qu’elles peuvent générer deviennent inutiles et néfastes
à cette expression. Le vin garde alors son goût d’origine et sa capacité de vieillissement, avec une
transparence totale pour le consommateur.
DU COMMENT TRAVAILLER…..MERCI MONSIEUR JOLY
Le goût du vin ne peut naturellement atteindre son originalité et devenir inimitable que par l’empreinte
de son terroir et de son microclimat. Partout sur la Terre le rapport des 4 composants : chaleur,
luminosité, hydrométrie et géologie se marient différemment. C’est là la subtilité des AOC que la
plante, vigne, olivier etc., saisit chaque fois à sa manière.
C’est de cette compréhension qu’est née la grandeur des appellations qui garantissent aux
consommateurs un gout lié à l’originalité d’un lieu particulier.
Pour qu’une vigne saisisse bien son terroir (minéralogie du sol et du sous-sol, orientation des pentes,
…) par ses racines, celui-ci doit être vivant et donc exempt de désherbants. Et pour bien capter le
climat et ses multiples variantes (vents, ensoleillement, humidité, …) la plante doit se développer de la
manière la plus naturelle possible ; En particulier, les feuilles doivent être exemptes de produits
chimiques de synthèse qui troublent la photosynthèse et l’ensemble du développement de la plante
vivante.
Quand une agriculture saine (biologie ou biodynamie) a bien permis, au lieu de s’exprimer, les
technologies de cave et les goûts arbitraires qu’elles peuvent générer deviennent inutiles et néfastes
à cette expression. Le vin garde alors son goût d’origine et sa capacité de vieillissement, avec une
transparence totale pour le consommateur.
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